SVALBARD
© Julia de Cooker – Svalbard – Mine worker
Svalbard, an arcticficial life
le lac gelé
Du 2 au 31 décembre 2022
Vernissage le vendredi 2 décembre à 18 heures
Horaires d’ouverture
Du 2 au 4 décembre de 14h à 20h
Du 9 au 11 décembre de 14h à 20h
17 & 18 décembre de 14h à 20h
Finissage le dimanche 18 décembre à 15h
Jusqu’au 31 décembre sur rendez-vous
Julia de Cooker
Julia de Cooker photographie à la chambre 4X5” en citant la palette des peintres hollandais.
Elle nous parle d’habiter la Terre et se rend dans les environnements les plus difficiles de la planète. Elle montre les gens qui y vivent et comment, souriants, l’air de rien, ils réussissent à habiter ces endroits étranges.
Pour cette exposition de Noël, Julia de Cooker nous montre un pays tout blanc comme le Lac gelé : l’archipel du Svalbard, au-delà du cercle polaire arctique. Occupé seulement depuis une période récente par des chasseurs de baleines puis des mineurs, le Svalbard est le seul pays au monde qui n’a aucune tradition ancienne.
Julia de Cooker parle de « la normalité étrange » : ses magnifiques images empruntent autant à la science-fiction qu’à la représentation d’une nature vierge.
© Julia de Cooker – Svalbard – Antenna
© Julia de Cooker – Svalbard – Landscape
le lac gelé
27 rue du Grand Couvent
13200 Arles
contact
Richard Petit
06 33 05 99 20
Début 2022, mon ami Jacques Lafont, fondateur de la galerie nîmoise le lac gelé décide de prendre sa retraite. Il ferme sa galerie à Nîmes et m’en offre gentiment le nom, que j’ai toujours trouvé infiniment poétique. Désormais, ma galerie éphémère s’appellera donc le lac gelé.
Suite à la fermeture en 2021 de Voies Off qui avait toujours été ma galerie, et après les confinements liés au Covid, je ressentis la nécessité d’ouvrir ma maison pendant les Rencontres. J’y ai montré l’île des Dieux, projet que je n’avais jamais exposé à Arles. Je pris goût à l’exercice que j’ai décidé de pérenniser.
J’habite depuis longtemps déjà une maison du seizième siècle, dans le quartier de l’Hauture à quelques pas des Arènes. C’est en m’installant à Arles que j’ai découvert la photographie et suis devenu artiste. Depuis lors, cette maison a abrité de nombreux amis artistes et photographes, comme si ce lieu était déjà destiné à montrer des images.