SPRING IS LIKE A PERHAPS HAND

Wilfried Prager – Bloom – huile sur toile, 2023

Spring is like a perhaps hand

Galerie Sinibaldi Arles

Du 2 au 26 mars 2023

Vernissage le jeudi 2 mars de 18 à 21h

Horaires d’ouverture
piacopper@gmail.com ou par sms 06 89 33 63 16
sur rendez-vous ou 18h-20h

Wilfried Prager

avec

Qiu Jie
Antoine Leroux-Dhuys
Yang JInsong
Ye Nan
Harold Ambellan
Diana Lui
Manifeste Aesthethic
Stanislas Blohorn

Supernovas, étoiles-comètes, tzimtzum, forêts mouvantes, fleurs psychédéliques,… The Rose Does not Know Its Why, Celestial, Somewhere on the Tree of Life, .. les titres mêmes des oeuvres évoquent des nouveaux mondes.
Les peintures de Wilfred Prager semblent inventer un nouveau langage au-delà de la réalité figurative, un état de conscience dans lequel la vie et l’amour, le temps et l’être se produisent sur un autre plan, sur un plan de relativité, un lieu où le temps et l’espace perdent leur sens.
Prager aime appeler ses œuvres, des œuvres de singularité. La singularité est une sorte de trou noir, un no man’s land, un néant. Regarder ses peintures, c’est atteindre un état de contemplation méditative, une communion mystique avec le monde ; faire un saut quantique dans l’infini.
Ses tableaux me rappellent un poème d’EE Cummings : « Le printemps est une main peut-être (qui sort prudemment de nulle part) et qui ouvre une fenêtre, par laquelle, les gens regardent… » L’acte de regarder apporte un épanouissement, une ouverture inspirée, un éclaircissement, une révélation, le printemps.

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Supernovas, exploding stars, tzimtzum, moving forests, psychedelic flowers,…The Rose does not know its Why, Celestial, Somewhere on the Tree of Life, .. even the titles evoke other worlds.
Wilfred Prager’s paintings seem to invent a new language beyond the figurative reality, a state of elevated consciousness in which life and love, time and being occur on another plane. On a plane of relativity, a place where time and space lose their meaning.
Prager likes to call his works, works of singularity. Singularity is a sort of knot of a black hole, an elaborate nothing and nowhere. Looking at his paintings is achieving a state of meditative contemplation, a mystical communion with the world; it is taking an intuitive quantum leap, into a form of superintelligence.
They remind me of a poem by EE Cummings which I love because it is about a feeling more than about a truth. It goes like this: « Spring is like a perhaps hand (which comes carefully out of Nowhere) arranging a window, into which people look.. .» The act of looking brings on a blossoming, an inspired opening, a clearing, a revelation.

Wilfried Prager - Tzimtzum (VIII), huile/toile190 x 200 cm, 2017

Wilfried Prager – Tzimtzum (VIII) – huile/toile190 x 200 cm, 2017

Galerie Sinibaldi Arles

24 rue de l’Hôtel de Ville
13200 Arles

contact
Pia Copper
06 89 33 63 16

La Galerie Belle Beau (nom issu du Manifeste Aesthethic, visible dans le jardin d’hiver à Arles, boulevard des Lices) née au 14 rue de Grille, poursuit son voyage arlésien chez Sinibaldi 24 rue de l’Hôtel de Ville (merci à Alain Sinibaldi, Stéphanie Gattlen et Sandrine Lefort).