Le projet, qui a débuté en Jordanie avant la pandémie de COVID-19, est à la fois une représentation conceptuelle de la vie humaine et une alerte signalant qu’elle s’engage sur une mauvaise voie pour l’environnement mondial.
Sanna aborde des sujets aussi variés que les personnes, les radiographies, les animaux, les ruines, les œuvres d’art et les paysages, qui se présentent comme un vaste corpus d’images.
Il photographie du point de vue d’un observateur transcendantal, l’histoire et les actes de l’humanité ainsi que les différents artefacts (des pyramides aux voitures abandonnées) qui sont produits tout au long de l’évolution de l’humanité.
Dans une atmosphère inquiétante avec le filtre rouge, chaque image résonne les unes avec les autres, créant une vision, une histoire et un écosystème.