LUNGTA

Lungta © Richard Petit – Lamayuru

Lungta

le lac gelé

Du 4 juillet  au 9 septembre 2022

Vernissage le mercredi 6 juillet 2022 à 18h

Ouverture du 4 au 12 juillet de 13 à 19h ou sur rendez-vous ,
puis uniquement sur rendez-vous jusqu’au 9 septembre.

Richard Petit

Lungta / Les Chevaux du Vent / Horses of the Wind

Je suis parti dans l’Himalaya, au bout du monde. J’y suis retourné plusieurs fois.
Je désirais montrer la coexistence du sacré et du profane, et comment ces scènes médiévales s’inscrivent aussi dans le monde contemporain. Et aussi rendre hommage au noble combat du peuple tibétain.
Dans les pas d’Alexandra David-Néel et de la photographie vintage, je voulais retrouver l’éblouissement des débuts. Sur les traces de Tintin au Tibet comment trouver un équivalent photographique à la « ligne claire » d’Hergé ?

Lungta © Richard Petit - Kangyur - Thiksey

Lungta © Richard Petit – Kangyur – Thiksey

Lungta © Richard Petit - Little Monks - Likir

Lungta © Richard Petit – Little Monks – Likir

le lac gelé

27 rue du Grand Couvent
13200 Arles

contact
Richard Petit
06 33 05 99 20

Début 2022, mon ami Jacques Lafont, fondateur de la galerie nîmoise le lac gelé décide de prendre sa retraite. Il ferme sa galerie à Nîmes et m’en offre gentiment le nom, que j’ai toujours trouvé infiniment poétique. Désormais, mon lieu s’appellera donc le lac gelé.
Pour quelques événements particuliers, ma maison devient une galerie éphémère. J’aime y inviter des artistes et organiser avec eux l’exposition de leurs œuvres. C’est parfois aussi l’occasion de montrer mon propre travail.
J’habite depuis longtemps déjà une maison du seizième siècle, dans le quartier de l’Hauture à quelques pas des Arènes d’Arles. C’est en m’installant à Arles que j’ai découvert la photographie et suis devenu artiste. Depuis lors, cette maison a abrité de nombreux amis artistes et photographes, comme si ce lieu était déjà destiné à montrer des images.
L’été 2021, suite à la fermeture de Voies Off qui avait toujours été ma galerie, et après les confinements liés au Covid, je ressentis la nécessité d’ouvrir ma maison pendant les Rencontres. J’y ai montré l’île des Dieux, projet que je n’avais jamais exposé à Arles. Je pris goût à l’exercice et décidai de le pérenniser.